Un parcours atypique


Une vocation le porte d’abord vers les soins naturels. Pendant des années il en fait sa profession. Il y réussit plutôt bien. On lui doit le libéralisme médical qui s’est développé en Suisse romande à l’égard des médecines douces, et en partie leur avancée. Il a contribué à instaurer des exigences et des critères de formation.


En plus de son cabinet il fonde l’Ecole de Soins Naturels et organise pendant des années à Genève le salon du Bien-Être Solvita. Il coache également et anime des stages de développement personnel, dont le stage du Voyage Intérieur.


Il a gagné deux bras de fer avec la justice: l’un à propos de l’exercice de la naturopathie. L’autre, plus récent, contre une fausse accusation d’inspiration féministe. La chanson Novembre Noir a été écrite autour de cet événement majeur. Il a gagné un troisième bras de fer contre un cancer du pancréas.


Les épreuves ont ouvert une nouvelle voie. Dans sa résilience, il dessine son univers par l’écriture et la musique. Il fait ce qu’il sait faire : oser, explorer, ouvrir des chemins.


Ce fils d’une immigration intra-européenne, né à Genève et devenu suisse par goût et conviction, est un doux sauvage. La liberté lui tient au coeur. Ayant viré sa cuti féministe il soutient la vraie liberté des femmes et des hommes. Il est engagé dans de grandes causes, comme l’égalité - soutenant autant la cause des hommes que celle des femmes.


Il aime l’astronomie, la psychologie, la philosophie, l’humain, la palabre, l’écriture, la musique improvisée, et bien d’autres choses.



Sa devise? Une phrase de l’écrivain Alphonse Allais :

« N’être qu’un oui, mais lequel ? »


En pédagogie et en coaching il s’inspire d’une pensée d’Aristophane :

« Former ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu ».

 

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